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Ryurung, le Vieux Dragon
3 participants
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Ryurung
Nombre de messages
:
2
Age de votre personnage
:
Inconnu
pouvoirs
:
Contrôle de l'Air
Sexualitée
:
Hétérosexuel
Sujet: Ryurung, le Vieux Dragon
21.08.11 0:44
•Pseudo•
Avatar 200*400
Ryurung
Dragon
Nom : Aucun (souvent appelé "M. Ryu")
Prénom (obligatoire): Ryurung
Age : Inconnu
Sexe : Masculin
Orientation : Hétérosexuel
Métier : Sous-Directeur de l'établissement Nako
Pouvoirs : Transformation en Dragon ; Maîtrise de l'Air
TOUT SUR MOI
Ce que je suis
• Glacial
• Distant
• Fidèle
• Droit
• Juste
• Équitable
• Mesuré
• Intraitable
• Entêté
• Caractériel
Icone 100*100
Mes Hobby
• Le Sport
• L'Histoire
• Le Droit, l’Économie, la Politique
• Les Armes et le Combat
• La Lecture
• La Musique (des goûts très bizarres...)
• ...le Travail !!!
Ma Biographie
Description physique :
Forme Humaine:
Sous forme humaine, Ryurung apparaît comme un grand quarantenaire, large d'épaule, bien taillé. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, ses petits yeux d'un vert émeraude scrutent chaque recoin de son environnement, séparés par son fin nez à l'arête droite et surmontés d'épais sourcils noirs. La peau blanchâtre, ridée sur le haut front, contraste d'ailleurs nettement avec ces sourcils, mais aussi avec les cheveux demi-longs d'un noir corbeau aux reflets bleutés et avec la barbe complète coupée court. D'ailleurs, Ryurung s'habillant exclusivement de noir, sa peau ressort même sur les rares autres endroits du corps où elle apparaît; à savoir le cou, la nuque et les mains. La voix est grave et profonde.
Sous ces vêtements noirs -généralement un étrange et antique ensemble de toile noire avec cape à fermoir d'argent, ou tout au contraire un ensemble très serré de pantalon de toile, chemise à boutons de manchettes blancs et veste avec cravate au nœud Windsor, et toujours aux pieds de longues et hautes bottes de cuir montant jusqu'au-dessous du genou- comme là où elle est découverte, sa peau blanche est entièrement parsemée de fines cicatrices presque argentées.
Ajoutons pour finir qu'il a l'étrange habitude de porter une longue épée à double tranchant, presque aussi longue que lui, au côté gauche, avec poignée longue couverte d'un fin cuir noir, garde large colorée par le gris métallique naturel de l'arme, et fourreau enveloppé dans un tissu noir, le tout accroché à une ceinture large et épaisse de cuir noir à boucle argentée. L'on peut parfois douter qu'il y ait réellement une lame dans le fourreau, mais en cas de besoin, le pommeau de la poignée est déjà largement suffisant...
Forme Reptilienne:
La forme de Dragon est digne des plus sombres et maléfiques de ces reptiles...dans l'imaginaire populaire en tous cas ! Il est du type des dragons européens: énorme, long, massif, son corps couvert d'épaisses et larges écailles commence par une longue gueule garnie de crocs d'albâtre et se termine par une queue qui ferait un excellent fouet...pour géant. Les ailes, repliées dans le dos dès qu'il pose ses quatre pattes larges et griffues au sol, se déploient largement pour battre puissamment les airs. Aucune corne, cependant, sur le sommet du crâne arrondi.
Notons approximativement les mensurations de cette "belle bête": 40 mètres de longueur (cinq de la pointe de la gueule à la base du crâne, sept pour le cou, quinze pour le corps, treize pour la queue), huit de largeur aux épaules, 50 d'envergure (soit vingt-et-un mètres de large pour chacune des ailes, sur une vingtaine de longueur, quand elles sont déployées), 7 mètres de haut au garrot à quatre pattes (le sommet de la tête dépasse d'environ un mètre l'épaule). Le Dragon a le même œil vert émeraude que sous sa forme humaine, petit -à son échelle-, protégé par une énorme paupière d'écailles.
Ajoutons que sous cette forme -comme sous celle d'humain, d'ailleurs, à moins d'avoir une torche et une bouteille d'alcool-, contrairement à l'imaginaire général, il ne dispose absolument pas du pouvoir de cracher du feu.
Néanmoins, la particularité la plus notable la forme de Dragon de Ryurung est qu'il "devient" bicolore -dire qu'il devient unicolore en prenant sa forme humaine serait plus juste- : les écailles de son ventre, du dessous de son cou, de l'intérieur de ses pattes et de la partie inférieure de ses ailes sont d'une couleur hésitant entre le gris argenté et le gris métallique clair, tandis que le reste des écailles est d'un noir d'ébène.
Ajoutons pour finir que sous cette forme, il peut également s'exprimer en langue humaine, d'une voix grondante et roulante comme le tonnerre et la tempête eux-mêmes.
Description psychologique :
Ryurung est un vieux dragon fort simple: il ne veut que contenter ses rares plaisirs, à savoir satisfaire son palais bien plus délicat que ne le laissent à penser un certain nombre de ses repas, assimiler toujours plus de connaissances, parfaire son équilibre physique et mental jusqu'à la perfection, et enfin convenir à ses goûts musicaux et littéraires, la plupart étant assez particuliers -c'est un Dragon, ne l'oublions pas...
Cependant, étrangement, et peut-être au fond fort logiquement, cette volonté de satisfaction strictement personnelle l'a conduit a avoir un regard très objectif et un caractère assez doux en temps normal. Il ne se laisse pas, d'emblée du moins, dominer par les émotions. Impartial et incorruptible, ses lectures lui on fait aimer les hautes idées de Justice et d’Équité. Il garde d'ailleurs une prudente distance avec tous les êtres, tant du fait de sa nature de Dragon que de son caractère renfermé.
Histoire :
Un bébé. Un bébé qui pleure. Seul, au milieu de la montagne. Voilà ce qu'il y avait, il y a longtemps, si longtemps. La peur, la douleur de la première transformation, instinctive, dictée seulement par la volonté innée d'un nouveau-né de survivre. Le premier feulement, de rage, d'un esprit plus complet, et capable de se débrouiller, sous une autre forme. Voler pour la première fois, grandir en apprenant à chasser...
De ces temps-là, la mémoire de Ryurung ne garde qu'un souvenir lointain et diffus. Non, vraiment, c'était il y a "trop" longtemps...trop longtemps...en un endroit montagneux, fort haut...
Depuis, l'eau a coulé sous les ponts. Les ponts se sont effondrés. Ont été remplacés. Ou pas. D'innombrables fois. Les millénaires se sont succédé les uns aux autres. Comment relater un si long temps de vie ? Tant d'expériences ? Tellement qu'en fait, même le propriétaire de ces souvenirs en oublie la plupart...
Les millénaires avaient passé, le Dragon avait grandit, vieillit, s'était émancipé, et, solitaire comme la plupart des siens, avait voyagé autour du monde -sauf qu'il ignorait le côté qu'il avait quitté seulement quelques heures après sa naissance. Il ne tenait pas longtemps en place -enfin, jamais plus d'un siècle, ou deux au plus.
Très tôt, il avait découvert une race. Sa race d'origine, en fait. Les humains. Créatures qui avaient alors un goût excellent, croyez-le ! Depuis, ça s'est fortement détérioré, même s'ils restent mangeables. Enfin bref, il avait donc découvert cette race de petits êtres. Race a laquelle il n'avait commencé à vraiment s'intéresser une fois arrivé dans ce qui serait plus tard surnommé le "pays des chats" ou le "pays des Sept Plaies". L’Égypte. Il était déjà passé plusieurs fois au-dessus de ce pays des sables, mais à cette époque, peu après la fin du quatrième millénaire avant l'ère actuelle, son attention avait été attirée par ses énormes montagnes qui n'était pas là précédemment. Il s'en était servit comme perchoir et nid, un long moment. Avant de comprendre que ces montagnes étaient en fait des construction de ces petits êtres. Ainsi, cette race était douée d'intelligence ? Capable de construire des choses -surtout aussi confortables et régulières que ces "pyramides"- ? Voilà qui captiva notre Dragon, qui s'était contentait de vivre sans biens matériels, simplement avec la Nature, y prélevant sa part pour vivre.
Les pouvoirs d'un Dragon sont puissants. Et l'envie de se mêler aux humains pour les comprendre était forte. Car converser avec eux n'était pas simple, sachant qu'ils venaient rarement dans le désert sauf pour se déplacer: le gabarit du dragon n'est pas adapté aux rues de l’Égypte Antique. Qu'est-ce qui débloqua ce pouvoir de métamorphose que Ryurung ignorait posséder au fond de lui-même ? Ce simple désir ? Possible...il finit donc par se transformer en humain, et pu converser ainsi plus aisément avec eux, les imiter, retrouver une part de ce qu'il était, apprendre...
Apprendre. La soif de connaissance de ce Dragon du Vent était née.
Connaître tout. Savoir. Enseigner, aussi...l'établissement Nako sera un écho, dans le futur, à cette soif du partage de l'esprit.
Et ce dragon voyageur prit une nouvelle fois son vol, quittant la brillante civilisation égyptienne. Car malgré son niveau de progrès, elle ne savait pas tout, loin de là. A nouveau, Ryurung parcourut le monde, mais cette fois pas pour le seul plaisir de voyager. Dès qu'il voyait une communauté humaine, de préférence d'importance notable, il se posait, prenait forme humaine, et se présentait pour collecter, amasser, compulser dans sa mémoire, parfois au détriment de pensées plus personnelles, et strictement reptilienne.
Parfois, il se posait, et ne prenait plus son envol pendant plusieurs années. Plus le temps passait, plus il appréciait de se mêler aux humains.
Car décidément, ils lui plaisaient beaucoup, ces êtres. La plupart de leurs faction compulsaient les connaissances. Beaucoup appréciaient la vie simple, comme le Dragon: manger, dormir, rire. Et tuer...
Tuer. La guerre. Un élément important dans les sociétés humaines. Motifs personnels des chefs, motifs objectifs des peuples, motifs dus aux hasards ou aux malentendus.
S'il apprécie les humains vivants qui le gavent de connaissances, Ryurung ne se prive cependant pas de manger les cadavres ou de tuer ses agresseurs. La société moderne est encore très lointaine, et donc le goût de l'humain est encore bon. Pourquoi se priver ? Bien ou mal, c'est un jugement typiquement humain, que le Dragon ne se pose pas. C'est même logique, pour lui, de manger les cadavres des champs de bataille: il se remplit l'estomac tout en évitant que des maladies se développent sur les chairs pourries.
A de nombreuses reprises, le Dragon va donc combattre aux côtés des humains, contre d'autres humains. C'est le plus souvent de façon intéressée, qu'il le fait: qu'on lui promette à manger, des connaissances, ou des objets intéressants, et il pourra vite se ranger aux côtés d'un groupe de combattants. Cependant, le Dragon va peu à peu prendre l'habitude de ne combattre que sous sa forme humaine. L’Équité, cette notion qui n'apparaîtra qu'assez tard dans la conception humaine, est déjà sa compagne: pourquoi combattre sous forme de Dragon, et donc aider encore davantage le groupe auquel il se joint -de par l'intimidation réalisée, de par les massacres faciles à faire dans les rangs ennemis...- alors que l'autre camp pourrait sans doute lui promettre les mêmes choses, fort peu au final ? Il ne se sent pas différent des mercenaires humains, et prend souvent moins pour une efficacité accrue: pourquoi combattre dès lors sous sa forme la plus efficace...et la plus épuisante ?
Cette vie, partagée entre vols de voyages, plongée dans les universités et écoles antiques, et batailles sanglantes, durera longtemps.
La première fois où le puissant Dragon va se poser un long moment, ce sera dans la magnifique Rome. Rome, cité méditerranéenne. Le "centre du monde"...à cette époque, ce sera presque vrai, même si le Dragon trouve que les puissances d'Inde, de Chine et du Japon sont très avancées également, bien que plus déchirées.
Une période de repos dans le centre de la culture européenne et nord-africaine. Après des millénaires sous sa forme, puis trois millénaires passés en grande partie parmi les humains, ce repos fut des plus utiles. Ryurung ne quittera la cité qu'après presque trois siècles -il vit les trois Guerres Puniques et eut l'occasion de voir un consul qui allait conquérir un peuple composé de multiples tribus, au Nord-Ouest de l'Italie-, quand il s'estimera totalement remit: il n'y aura pas vécut de façon connue, se contentant de gagner sa vie comme un humain de rang moyen afin de fréquenter les
magister
privés de l'Antiquité. EN quittant Rome, il s'envole pour traverser l'Atlantique...
L'Europe va bientôt plonger dans son âge sombre. A l'opposé, les sociétés asiatiques retrouvent leur splendeur, et les civilisations amérindiennes commencent à se développer. Pendant le premier millénaire de cette nouvelle ère, Ryurung va essentiellement se concentrer sur ces dernières. Quetzalcóatl, ce n'est sûrement pas lui, cependant, notons-le. Si jamais il avait, chose peu probable, était déifié par l'un ou l'autre des peuples américains, c’eût été du fait de son teint pâle, que les Aztèques interpréteront plus tard comme la couleur des dieux revenus...fatale erreur. Mais donc, Ryurung va passer un long temps à sillonner la longue et double Amérique, le plus souvent du Pôle Nord au Pôle Sud, car il va étendre ses vols jusqu'à la glaciale, déserte et surtout magnifique Antarctique; il reste très coupé du reste du monde, se rendant rarement sur les autres continents.
Et c'est à son retour en Europe, près de mille ans après avoir quitté Rome, qu'il va changer.
Changer. A cause de la douleur. La période qui suit est bien plus sombre, et marquera beaucoup le Dragon.
Jusqu'alors, il se permettait d'apparaître sous sa forme réelle quand cela lui chantait, et de survoler à basse altitude les plus grandes villes. Entendre souvent des cris de crainte ou d'étonnement était même assez amusant, il devait bien se l'avouer. Désormais, il ne se le permettra plus.
Car quand il revient en Europe, le temps n'est plus aux Dragons, lesquels avaient déjà commencé à décroître avec le temps, souvent à cause de leur appétit trop grand sous leur forme reptilienne, et par conséquent difficile à assouvir, ou par la difficulté à trouver des partenaires, ce qui diminuait leur facteur de reproduction et donc de perpétuation de "l'espèce"...
Mais le fléau des Dragons, ce seront les hommes. Les derniers Dragons s'étaient presque tous réfugiés en Europe. Car c'était la partie du monde où il y avait le plus à manger facilement, désormais. Contenter les appétits de ces géants était difficile...sauf quand existaient les charniers des batailles, vastes assiettes en plein air.
Les Dragons sont déjà devenus l'ennemi de l'Europe chrétienne. Les bêtes du Diable. Alors qu'eux luttent pour leur survie, se réfugiant souvent dans les montagnes qui demeurent leur environnement de prédilection, ils vont bientôt voir les humains les assaillirent.
Le temps des Anciens Dragons était révolu. Quelques-uns, trop peu, réussirent à fuir. Moins encore restèrent et se cachèrent. La plupart furent tués.
De cette époque, survenue brutalement, Ryurung gardera des blessures un long moment sur son corps qui disparaîtront finalement de son apparence reptilienne...pour mieux apparaître comme une multitude de cicatrices argentées sur son corps humain. Il gardera surtout l'habitude de conserver le plus possible son apparence humaine, car alors il se fondra dans la masse européenne, pour finalement s'isoler en gardant cette forme, après les temps des chasses aux Dragons. Il ne va désormais plus rejoindre le monde des humains que de façon prudente et très mesurée, gardant un goût amer de la quasi-annihilation des siens par ces êtres qu'il appréciait tant. D'autant que l'Europe a perdu de sa grandeur et de ses connaissances, et le Dragon n'y trouvera guère d'intérêts avant la Renaissance. Il va alors voyager régulièrement jusqu'en Asie, où il conserve toujours, cependant, sa forme humaine, par méfiance. Qui sait, avec ces êtres ?
Ces humains. Ces humains. Fascinants et pourtant si horribles.
Ryurung ne reprendra vraiment ses habitudes de voyageur qu'à partir du XIXème siècle. Les guerres déchirant à nouveau l'Europe et le commerce maritime lui permettent de vivre sa vie presque librement, si ce n'est qu'il n'ose vraiment plus reprendre sa forme naturelle.
Et c'est au court d'un de ses voyages que le Dragon, désormais assez âgé même au regard des siens, va sentir quelque chose changer. Un souffle dans l'air. Un souffle magique. Nous sommes alors vers la fin du XXème siècle.
Ce souffle magique, c'est celui de la puissance résiduelle d'une île où les espèces les plus diverses cohabitaient en harmonie. La guerre sentait encore, mais le Vieux Dragon avait connu pire. Il y avait même l'odeur, désormais si rare, d'un ou plusieurs des siens...ou légèrement différents ?
Un paradis. C'était l'impression que cela lui donnait. Enfin, en comparaison de ses souvenirs. Et après tout, avec tant d'espèces merveilleuses, comment cet endroit n'aurait-il pu constituer un havre idéal ? C'est ainsi que le Dragon du Vent réfléchissait...
Alors, sans plus de difficulté, il s'installa. Sans façons. Pourquoi se gêner ? N'avait-il pas droit à un peu de cette terre, lui qui était également une créature de ce monde ? Bien sûr que si, à son avis ! L’Équité, toujours.
Et voilà qu'un certain temps après...une occasion s'ouvra de fréquenter un lieu qui l'avait toujours fait rêver. Une institution scolaire. Redonner ce qu'il avait apprit. Partager ce qu'il savait. Le Dragon se sentait vieillissant. Sa mémoire contenait tellement de choses...pourquoi ne pas les partager, comme on les avait autrefois partagées avec lui ?
Aussi, au côté d'un très vieil ami, postula-t-il pour devenir Directeur-Adjoint, à l'établissement Nako...
Derrière l'écran
Le joueur
Pseudo:
Celui du perso peut suffire, non ? Sinon, vous devriez avoir l'occasion d'en découvrir, en Chatbox.
Ton âge : Majeur, c'est déjà bien.
Présence : Très correcte.
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Dis nous tout
• Comment à tu connus Nako ?
Baaaaahhh, une co-admin qui tient à le faire revivre ^^
• Que pense-tu du forum ?
Zouli ?
• Déjà sur Nako ? NON
• Le mots de passe :
[Validé par Yuna]
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Yuna Delacorte
Nombre de messages
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39
Sujet: Re: Ryurung, le Vieux Dragon
21.08.11 21:26
rien a redire, une seule chose bienvenue chez les fou et chez les lézard ♥
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Riku Kirisaki
Nombre de messages
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486
Age de votre personnage
:
17 ans
pouvoirs
:
manie le sabre avec une grande dextérité et manipule le vent a sa guise
Sujet: Re: Ryurung, le Vieux Dragon
22.08.11 10:05
Hay et Bienvenue ! (=
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Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Ryurung, le Vieux Dragon
Ryurung, le Vieux Dragon
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