Rencontre de deux Sakuras

Par une douce nuit étoiles de l'été, le vent réchauffait l'atmosphère et le seul bruit qu'on pouvait entendre est l'eau qui coule de la fontaine au centre du jardin. Quand soudain un petit mammifère sortit de cette fontaine, c'était un petit renard roux mais avec une particularité il avait deux queux oui Tails car s'était son nom est née avec deux queux. Il est de la race des furrys,mi-humain et mi-animal, Tails était à la recherche d'un coin de tranquillité. Il parcourait se magnifique jardin,de la petite Canna indica à l'Arbre à Orchidée se jardin était toujours bien entretenu, magique ou non sa reste un mystère complet. Mais se qui attirait l'attention de Tails était se magnifique cerisier, Prunus serrulata,avec ces magnifique pétales d'un blanc pur teinté de rose qui virvolté comme des fées. Tails se coucha en dessous de se spectacle magique est commença a fredonner un chant mélencolique...[center]

(Dit moi si le titre de conviens)

La nuit était déjà bien avançais quand Hamaelle se réveilla a l’intérieur de son chêne. Après avoir vérifié que plus personne n’étai dans les parages, elle sortit de l’arbre, l’écorce se détachant de son corps pour laisser apparaitre sa peau bruni. Seul une petite partie resta avant de devenir aussi fine et souple que du tissu, et de lui recouvrir le corps comme une petite tunique. Elle commença alors à revitaliser les plantes, éveillant les fleurs endormis et câlinant les buissons flétris. Quand elle eue fini la cour intérieur, elle dirigea vers le jardin, chantonnant un petit air au cerisier, faisant ainsi rosir ces pétales blanches. Elle aperçut alors un petit renard. Celui-ci avait deux queux, se qui surpris Hamaelle un moment, uns surprise qui disparut quelques seconde plus tard car, après tout, la nature, joueuse, avait déjà crée des choses bien plus étonnantes. Elle l’entendit fredonner alors un chant mélancolique se qui éveilla sa curiosité. Un renard a deux queues, ça passe encore, mais qui fredonne … elle se cacha alors a l’intérieur même de cerisier et, avec beaucoup de tendresse, tandis sa main, sous l’apparence d’une jeune branche, et donna une petite caresse a l’animal.

Jouer avec le petit renard plaisait beaucoup à Hamaelle. Comme les arbres, les bêtes étaient généralement associées à l’entente, l’harmonie même de la nature. Soudain, le petit renard sauta avec agilité jusqu’au sommet du cerisier et là, surprise, se transforma en un jeune garçon, lui demandant gentiment si elle était cosmo. Hamaelle ne connaissait pas ce que Cosmo voulais dire : était-ce un animal, une race, un nom, une plante ? Peut être voulais t’il dire cosmos et le seul cosmos qu’elle connaissait était une plante du Mexique. Voulait-il l’une de ces fleurs orangé ?

« Je ne suis pas un cosmos, petit être étrange, mais je peux t’en donné une, répondit-elle en plaçant ces branches de façon a faire un escalier. Descend donc, tu pourrais te faire mal a tomber de si haut… »

Hamaelle aurait pus être terrifier par le changement d’apparence de l’animal en homme, mais elle sentait en lui les instincts basiques du surement a son côtés renard, le mêmes instinct présent dans chacune de ces plantes.

Hamaelle ne sue que répondre. En tant qu’hamadryade, elle n’avait guère passé de temps avec les autres espèces, et la rédemption, pour elle, n’évoquait rien. Cependant, elle ne se sentait pas la force de laisser celui-ci dans la tristesse, une tristesse qu’elle ressenti d’avantage quand une larme perla sur sa joue.

« Je ne sais pas ce que je peux faire pour toi… à par sécher tes larmes. »
Sur ce, Hamaelle sortit de l’arbre et d’un coup de main fit apparaître une fleur d’absinthe qu’elle lui tendit.

« L’absinthe est la fleur des peines de cœurs, des séparation et de l’absence, est-ce ainsi que tu te sens ? Cosmo… c’était donc une personne chère n’est-ce pas ?»

Tails prit la fleur tendu et regarda la personne qui lui avait donné, c'était une des plus belles femmes qui n'est jamais vus, elle portait une robe brune comme l'écorce,ces cheveux était un magnifique vert émeraude, des yeux noisette et un corps fin et élancé.

-Oui,je n'ai jamais pu lui dire que je l'aimais et elle est morte pour nous protéger.

Tails lui faisait un doux sourire s'était un des premiers cadeaux qu'on lui a fait en cinq ans, depuis qui avait quitté ses amis il n'avait reçu aucun cadeau et aucune lettre de leurs pares,mais une pensé lui vin, il habitait ici depuis quelque mois et connaissais presque tout les pensionnaires, c'était la premier fois qui la voyait, les autres étaient-ils aux courant ou elle venait juste d'arriver.

-Excusez moi mais c'est la première fois que je vous voie ici,vous êtes nouvelle?

« Nouvelle ? Pas vraiment. J’ai suivit l’évolution de ce pensionnat depuis qu’ils ont planté le chêne dans la cour intérieur. Il faut dire que j ne me lasse pas d’observer les manies humaines… »

Hamaelle eue un petit rire en se souvenant des crises de jalousie, des secret et des bavardages qu’elle entendait chaque année quand les élèves passer près de son chêne pendant leurs heures de repos.

« Disons, que je ne suis ni une élève, ni un professeur, mais un simple élément de décors. »

Hamaelle avait dis cette phrase avec un air triste : elle avait été crée par et pour les plantes, et rien d’autre. Les humains ne devaient pas entrer en compte dans sa vie, tel était la loi.

« Pour ce qui est de ton amie, tu devrait te sentir honoré. Donner sa vie et ce qu’on a de plus précieux. Ce cadeau qu’elle ta donner, cette vie même, tu dois en profiter, et si tu veux lui faire honneur, tu peux toujours faire quelques chose qu’elle aurait aimé que tu fasses pour elle. »

Hamaelle lui souria, heureuse de voir que la tristesse qu’il avait, bien que toujours là, s’était réfugié derrière un voile de joie. Elle eue ensuite un petit rire quand il se présenta et qu’il la nomma comme la mère nature.

« Je me sens encore bien trop jeune pour être nommé ainsi ! souria-t-elle. Je me nome Hamaelle, fille de Dariane, hamadryade du chêne planté dans la cour intérieur. Heureuse de faire ta connaissance Tails. Je me ferais une joie te t’aider à prendre soin de la nature, si c’est ce que tu veux faire pour Cosmo. Bien que je ne la connaisse pas, je suis bien heureuse qu’elle t’ai mis sur mon chemin. »
Pour Hamaelle, la moindre goutte d’eau pouvait sauver une fleur et donc, la moindre vie donnée pouvait tracer un chemin…