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Un Fée hors du commun [Yuna]
Auteur
Message
Yuna Delacorte
Nombre de messages
:
39
Sujet: Un Fée hors du commun [Yuna]
15.10.10 18:33
•Yuna Delacore•
Yuna Delacore
« Fée »
Noms : Delacore
Prénoms (obligatoire): Yuna
Age : 20 ans
Sexe : Féminin
Orientation [Hétérosexuel,Bisexuel,Homosexuel] : Hétéro
Métier [Etudiant, où autre...] : Prof de Pouvoirs (contrôle)
Pouvoir : (2 maximum)
Yuna peut crée de la neige et de la glace à partir de rien, seulement, celle ci ne tient pas indéfiniment, ca dépend de la chaleur ambiante, mais aussi de la capacité à la fée de garder la glace solide, donc, de sa magie.
TOUT SUR MOI
Ce que je suis
• c'est une diva
• caractèrielle
• complètement folle
• hautaine
• Jalouse
• Fidèle
• Têtu et Borner
• passionner
Mes Hobby
• ce costumer
• manger des fraises
• Flaner
• Dormir
• Dessiné
• Faire chier son monde
Ma Biographie
Description physique :
Que dire sur moi ? Que dire sur mon physique ? Que dire tout cours, je ne sais pas, vous ne voulez pas m’aidez un peu ? Car là je séché totalement… Ah si, je sais comment je vais commencer ! "Comme la beauté, la bonté des femmes n'est souvent qu'un maquillage."Cette citation d’écrit bien la beauté je trouve, pas vous ? Enfin le fait est que, je ne suis ni belle ni moche, je suis juste entre les deux heureusement pour moi. Le fait est que je ne suis pas d’une grande taille, ni d’une mensuration parfaite. Je n’ai pas des formes de star. Je suis juste moi, une petite demoiselle, d’un mètre cinquante-neuf et qui pèse en tout et pour tout quarante-six kilo, dans la moyen quoi. Je ne peux pas non plus vanter mes cheveux, puisqu’ils sont comme tous les autre cheveux, lisse, soyeux, et bleu, oui je sais c’est une couleur des plus original, mais je l’aime bien cette couleurs, elle me va bien je trouve. J'ai des petit yeux Saphir. Ne vous trompez pas surtout. J’ai un visage enfantin, c’est pour ça que la plupart des personnes que je rencontre me prend pour une enfant, alors que j’ai 20 ans, mais c’est un avantage assez important. Du fait que j’arrive a faire apitoyer les gens rien qu’avec ma petite bouille.Je n’ai pas les moyen de me payer un tas de beau vêtements, les seules que j’ai c’est ceux de ma grande sœur avant qu’elle ne parte. Les vêtements qui se trouve dans ma valise son souvent des uniforme mignon, dont je me sers pour attendrir les passants pour qu’il me donne de l’argent. Aussi, il y a une tenue de danse, je m’en sers pour danser dans la rue, et récolter également de l’argent. Tous ses vêtements sont de couleur chaude, pour égayer un peu, et puis ma sœur adorait les couleurs estivaux. Dans la valise, il y a pas beaucoup de pantalon, je dirais grand maximum deux, moitié trop petit pour moi maintenant. La plupart des affaires sont des robes, jupe, chemisier, etc… Tous assez affriolant je dirais.
description psychologique :
Je ne crains pas les coups du sort,Je ne crains rien, ni les supplices,Ni la dent du serpent qui mord,Ni le poison dans les calices,Ni les voleurs qui fuient le jour,Ni les sbires ni leurs complices,Si je suis avec mon Amour.Je me ris du bras le plus fort,Je me moque bien des malices,De la haine en fleur qui se tord,Plus caressante que les lices ;Je pourrais faire mes délicesDe la guerre au bruit du tambour,De l'épée aux froids artifices,Si je suis avec mon Amour.Haine qui guette et chat qui dortN'ont point pour moi de maléfices ;Je regarde en face la mort,Les malheurs, les maux, les sévices ;Je braverais, étant sans vices,Les rois, au milieu de leur cour,Les chefs, au front de leurs milices,Si je suis avec mon Amour.EnvoiBlanche Amie aux noirs cheveux lisses,Nul Dieu n'est assez puissant pourMe dire : « Il faut que tu pâlisses »,Si je suis avec mon Amour.Je ne crains pas les coups du sort,Je ne crains rien, ni les supplices,Ni la dent du serpent qui mord,Ni le poison dans les calices,Ni les voleurs qui fuient le jour,Ni les sbires ni leurs complices,Si je suis avec mon Amour.Je me ris du bras le plus fort,Je me moque bien des malices,De la haine en fleur qui se tord,Plus caressante que les lices ;Je pourrais faire mes délicesDe la guerre au bruit du tambour,De l'épée aux froids artifices,Si je suis avec mon Amour.Haine qui guette et chat qui dortN'ont point pour moi de maléfices ;Je regarde en face la mort,Les malheurs, les maux, les sévices ;Je braverais, étant sans vices,Les rois, au milieu de leur cour,Les chefs, au front de leurs milices,Si je suis avec mon Amour.EnvoiBlanche Amie aux noirs cheveux lisses,Nul Dieu n'est assez puissant pourMe dire : « Il faut que tu pâlisses »,Si je suis avec mon Amour., Par Germain NouveauQuel magnifique poème n’est-ce pas ? Quel est le rapport avec moi ? Vous le saurez bien assez tôt je pense. Je suis quelqu’un de très compliquer à cerner, peu on réussit. J’ai plusieurs facettes dans ma manche, et qui plus est je suis quelqu’un de facilement irritable. Je suis un peu soupe au lait. Enfin ca ce n’est qu’un détail. Je suis comme qui dirais également, quelqu’un de bipolaire. Je pense que vous savez tous ce que c’est que je n’ai pas à vous l’expliquer. Je suis quelqu’un d’arrogante, qui prend tout le monde de haut. Je sais merveilleusement bien jouer la comédie, c’est ce qu’il faut lorsqu’on est une voleuse comme moi, pleine d’astuce. Je suis maligne et attachante également. J’ai beau être une garce parfois, je peux me montrer gentille, douce. Avec mes amis, je suis quelqu’un de confiante, à l’écoute et également une amie fidèle, qui ne trahis pas ses amis. Trahir ses amis ? Je n’imagine même pas ce que cela pourrait être, je trouve, personnellement ca révoltant. Comment on peut trahir ses propres amis ? Mes peurs, j’en ai beaucoup, oui je suis quelqu’un d’assez peureuse, mais la seule chose qui me fait réellement peur c’est de rester seul, et oui, j’ai peur de la solitude… Mais c’est rare que quelqu’un. Enfin bref, je peux après énumérer toutes mes peurs : J’ai peur des loups garou, du noirs, des mort-vivants, des araignées, des guêpes, abeilles, enfin tout ce qui pique, et j’en passe. Après venons a ce que j’aime, je n’aime pas grand-chose, mais par exemple, j’aime chanter, danser, faire chier mon monde, ainsi que de manger des fraises. Dès que j’ai des sous je file acheter des fraises, je raffole des fraise, c’est mon péché mignon, je pourrais en manger tout le temps, que ce soit avec du chocolat, en yaourt, en sucette, bonbon et autre. Je pourrais m’en faire exploser le bide.
Histoire :
Entrée
Il était une fois, une famille heureuse, une famille noble. Cette Famille devint un peu plus heureuse encore lorsque la jeune femme eut un enfant. Cet enfant, c’était moi. Ce petit être si fragile, et oui, c’était la voleuse de maintenant. Mais pour l’instant qui le savait que j’allais devenir une voleuse ? Personne, j’étais trop petite pour que l’on sache quoi que ce soit. Je grandissais dans une famille des plus heureuses. Je ne manquais de rien, mais de rien du tout, j’étais même très gâter. Et puis j’avais également une grande sœur, qui avait une bonté, mais qu’on n’imagine même pas la grandeur. Elle était prête à tout pour rendre le sourire au gens. Je l’aimais beaucoup ma sœur, j’aimais beaucoup aussi mes parents… Mais à mes 2 ans, ma mère attrapa le cancer et en mourut, ce fut a choque pour tout notre famille, mon père avait sombré dans l’alcool, et avait flambé nos économie dans de l’alcool et des femmes. Je ne reconnaissais pas mon père. Il devenait de plus en plus violent. Il était souvent violent après avoir bu. Il frappait souvent ma sœur, car elle se mettait entre moi et lui, mon propre père voulait me frapper… Dans ma maison régnait le chaos, je pleurais, ma sœur voulait se montrer forte, mais je sais que lorsqu’elle allait dans le jardins, s’était pour pleurer, je l’avais surprise un jours, à pleurer, sur le banc. Je m’en voulais beaucoup, s’était à cause de moi, que Meg se faisait taper dessus. Et quand le soir venait, on entendait chaque soir, des gémissements comme si quelqu’un avait mal… Je pleurais, encore et encore, cacher dans mon armoires, voulant que tous ses bruit cesse… Mais sans succès. Je n’aimais pas ça… Je n’aimais pas du tout… Pas du tout du tout ça… platUn an passa, son père avait flambé toutes les économies de la famille. Des créanciers vinrent lui réclamer les dettes qu’il devait. Saisissant ainsi la maison, ainsi que du peu d’argent qu’ils possédaient encore. Cette famille se retrouva rapidement à la rue, sans argent, sans logement, et surtout sans rien à manger…. Mais leurs père ne pouvant pas s’empêcher de boire encore et encore, il commença alors à voler cette boisson, laissant les deux jeunes filles se débrouiller seules. Elles étaient assise dans la rue, essayant désespérément d’attendrir les passant, mais ces derniers étaient froid et ignorait les pauvres petites demoiselles. Mais un soir, leur père ne rentra pas comme prévus. Yuna et sa sœur espérait vainement le retour du seul parent qui leurs restait. Le lendemain, après avoir passé la nuit seule. Elles fouillèrent la de fond t’en comble, sans grand succès… Mais elles ne désespéraient pas pour autant, continuant à rechercher leur alcoolique de père. Le soir, ainsi que la nuit qui suivit, jusqu’à ce qu’un homme vint leurs dirent que leurs père avait été arrêté » pour vol. Dépité, elles ne savaient pas ce qu’elles allaient faire…Les jours passèrent et elles avaient de plus en plus faims… Malheureusement, personne n’avait une grande bonté pour aller donné un peu de nourriture a deux gamines affamés, qui venaient en plus de perdre la seule famille qui leurs restaient, leurs père…. C’est pour quoi, Yuna commença a volé un peu de nourriture aux marchants dans les rue. Elle faisait en sorte que sa grande sœur ne sache pas qu’elle avait volé cette nourriture, alors elle disait à Meg qu’on lui avait tout simplement donnée par pur générosité. Heureusement sa sœur la croyait facilement… Heureusement… Seulement, elle savait que voler ce n’était pas bien et que si elle se faisait prendre, elle irait en prison, comme pour son père, mais, il fallait bien se nourrir, pour survivre…Plusieurs années passèrent, Yuna avait maintenant 10 ans et sa sœur, Meg en avait 16. Yuna continuait de voler, mais elle savait qu’elle avait grandi, mais elle se faisait discrète. Mais parfois elle était un peu trop discrète, ce fut le cas pour cette homme. Quel Homme ? Et bien celui qui venait de proposer du travail à Meg. Il ignorait cependant la présence de Yuna, comme si elle était de trop ici… Mais, évidement […] fut si contente qu’elle accepta tout de suite, oubliant sa pauvre petite sœur, Yuna. L’homme prit alors, Meg sous son aile, partant avec elle sans même adresser un regard a Yuna, qui restait la a les regarder partir, sans savoir comment réagir, les larmes commençant a coulé... Elle pleurer sa grande sœur, elle venait de perdre la seule personne qui était resté avec elle lorsque sa vie avait basculé, quand son père avait été arrêté, la seule personne qui l’avait vu grandir après ses parents…. Sa sœur était partie si vite, qu’elle en avait oublié sa valise. Yuna, hérita donc de la valise de sa sœur, mais n’osait pas la toucher. Elle savait que ça la ferait pleurer car des souvenirs remonteraient.Yuna était à présent seule, elle ne savait pas ce qu’elle allait devenir. Elle savait pas quoi faire maintenant que ça sœur n’était plus là. Elle était perdue et abandonné de tous… Alors qu’elle n’avait que ans, elle décida de retrouver sa grande sœur. Pour ce nourrir, elle volerait encore, mais étant donné qu’elle était plus grande, les marchant la voyait chiper un fruit, la plupart du temps s’était des barquettes de fraises, qu’elle vidait dans un petit sachet pour que lorsqu’elle prendra ses jambes à son cou. Heureusement, Yuna était rapide, assez pour semer les marchant furieux. Mais un jour alors qu’elle fuyait, elle bouscula quelqu’un, ce quelqu’un était un jeune homme, beau et grand, elle avait l’impression d’être devant un prince. Le fait est qu’elle était toujours pourchasser par le marchant…- PETITE VOLEUSE, REND MOI CETTE POMME !!!!Elle avait cette pomme entre ses doigts, fixant l’homme. Prenant peur elle tenta de fuir sans grand succès… L’homme qui était en face d’elle la retint, agrippant son bras, l’arrêtant nette. - As-tu volé cette pomme ?!- Ça ne se voit pas peut être ? Ah non ! je cours pour faire mumuse…Haussant les épaules, Yuna essaya de se dégager de l’homme en question, ne voulant pas ce faire prendre par le marchant. Tandis qu’elle se débattait le vendeur de fruit s’approchait dangereusement.- Écoute petite, on va faire un marché, je te sors de cette merde et tu arrêtes de voler !- Vous délirez monsieur, comment MOI je fais pour me nourrir ? Personne veut d’une gamine de 10 ans comme employé, sur ce ! je préfère courir et manger !L’ignorant, Yuna partit en courant, fuyant ce marchant en colères. Mais étant plus rapide que ce vieil homme, elle le sema une fois de plus. Cacher, elle ne se souciait de rien, paisible, mais seule, un peu trop seule. Elle n’aimait pas la solitude, c’était si pesant… L’atmosphère était lourde et qui plus est-elle avait froid, trop froid… Sa sœur maintenant partit, elle n’avait plus personne… La tristesse, la mélancolie la prenait… Avant, peu après que sa sœur soit partit, elle volait toujours deux pomme croyant que ça sœur était toujours là, avec elle, mais malheureusement, elle était bel et bien partit… Mais elle devait s’y résoudre, sa sœur ne reviendra pas… La jeune Yuna, ne savait pas du tout ce qu’il allait advenir d’elle, mais elle savait une chose, c’est qu’elle allait se battre pour vivre, et retrouvé sa grande sœur, elle n’allait pas laisser Meg toute seule, bien qu’elle soit plus vielle qu’elle, il ne fallait pas qu’elles soient séparé trop longtemps… Yuna ne pouvait pas se le permettre… Aujourd’hui, c’est vendredi, le vendredi, la jeune femme allait au restaurant, c’était une habitude qu’elle avait pris avec sa grande sœur. Bon au restaurant, ce n’est pas réellement un restaurant, ça se trouvait derrière un restaurant…. Vous suivez ? Évidemment, c’est les poubelles le sous-entendu… Oui, chaque vendredi, les deux jeunes filles, enfin maintenant que Yuna, allait derrière un restaurant pour vider les poubelles… Vous n’imaginez pas tous ce que le cuisinier peut jeter, alors que c’est encore bon quoi… C’est pour quoi, la petite demoiselle, s’habilla pour l’occasion. Une fois prête, elle alla derrière ce fameux restaurant, mais il y avait déjà quelqu’un a sa place. Elle n’osa pas répliquer, l’homme était bien plus grand qu’elle… Elle ne ferait pas un pli devant lui… C’est pour quoi, elle fit machine arrière… Et commença marcher, désespérer dans la rue, voulant qu’une seule chose… Pleurer… Alors qu’elle rentrait dans sa cachette, elle vit un jeune homme fouiller dans sa valisette, la, elle ne laissa pas l’acte passer, elle fit fuir le jeune homme a coup de cailloux…Une fois que cet idiot soit partit, elle fouilla dans sa valise pour voir si rien n’avait disparu, heureusement rien n’était partit, mais bizarrement, elle trouva dans sa valise, la sort de couronne de ca défunte mère, elle était en forme de nœud, et au-dessus une sort de couronne. Elle fut, si ému, qu’elle commença a pleurer. Se souvenant des moments passer avec sa mère, des moments ou sa mère portait se diadème fièrement, s’amusant a le prêté a ses enfants. Elle était si heureusement, et si triste… La présence de ca mère lui manque terriblement… Elle pensa, d’un coup, que heureusement, heureusement que son père n’avait pas découvert ce souvenir, car il l’aurait vendu pour ce payer ses boissons… La jeune demoiselle, décida alors, de ne plus jamais se séparé de cette petit valise, ne voulant pas qu’on lui vole sont objet le plus précieux qu’elle possédait…Plusieurs mois passèrent, la vie de la jeune demoiselle, était devenue bien monotone… Elle volait à midi, une pomme pour se nourrir, elle courait, elle mangeait, après, elle fouille les recoins de la ville pour retrouver sa grande sœur, puis le soir, rebelote, elle volait un autre fruit, elle courait, et le mangeait. Puis elle retournait à sa cachette, pour dormir. Quelle vie monotone… Elle qui aimait quand il y avait de l’action, bah la… Bof quoi… Enfin bon, que voulez-vous… Faut faire avec n’est-ce pas ? Plusieurs année passèrent, et Yuna avait maintenant 12 ans, elle n’avait pas forcement grandit énormément, mais le fait est qu’elle approchait la majorité, et cela, la rendait comme joyeuse. Pourquoi ? Car elle pourra travailler, arrêter de voler, et gagner légalement des sous… Enfin bon, elle avait encore un peu de temps avant d’arriver à sa majorité… Mais bon, la petite voleuse, vivait le jour le jour, elle ne savait pas ce qui allait se passer le lendemain. Alors qu’elle se promenait dans les rues, elle se cogna contre un homme, étrangement, cette homme lui rappela quelque chose, elle le fixait longuement, cherchant où elle l’avait vu… Elle commença donc à se torturer l’esprit cherchant la raison de cette intuition… Et la ! Le coup de génie.- Vous ! Elle le montra du doigt, comme choquer… C’était l’homme d’il y a deux ans… Celui qui avait dit « jte sors de la si tu vole plus » mais quel idiot quand même… Elle venait de faire quelque pas en arrière, puis elle vit deux gamins derrière lui, tous était habiller de aillons, elle releva son visage regardant l’homme… Il souriait, pourquoi il souriait, il se foutait de sa gueule ? - Tiens miss je vole une pomme…Oula, niveau réflexion il y avait mieux a faire… Elle fixa l’homme longuement neutre… Elle se mit d’un coup à rire aux éclats, elle allait en pleurer… - Chercher d’autre surnoms car là, vous me fait rire, être aussi vieux de vous, et ne pas savoir « surnommer » quelqu’un !Vexer l’homme se tue, et contourna la jeune fille. Cependant, cette dernière l’arrêta. Souriant à pleine dent… - Que c’est bizarre, les rôles sont inversés sur ce coup… Bref, pourquoi c’est enfant vous suit ? Elle montra le groupe d’enfant derrière l’homme du doigt, le fixant sérieusement… Qu’est-ce que vous allez faire de c’est pauvre enfant ? Dans le lot il y avait un jeune garçon du même âge que Yuna… Il avait un visage doux, et calme, vraiment adorable, mais il avait un air déterminé et sérieux…- Vous les avez achetés ? recueillit pour faire vos esclaves ? Vous faite la charité ? Depuis quand ? Depuis quand un ptit richard fait la charité ? Elle y avait été fort, mais depuis que sa sœur avait suivi un homme tel que lui, elle se méfiait de ce genre de personne. L’homme en face d’elle se mit à soupirer longuement, croisant après ses bras, fixant la petite voleuse droit dans les yeux.- Après en plus sur les personnes que tu as en face petite, je suis loin d’être un richard, et je suis loin de faire la charité, et loin de les avoir acheté, et je ne veux absolument pas en faire des esclaves, je n’ai pas des idées tordu moi, au moins !Elle toussa un peu, trouvant ca ridicule… Elle voulait quand même protégé ces enfants, c’était plus fort qu’elle… Peut-être que ces petits avait une sœur qui avait été abandonné comme pour elle… Elle ne voulait pas qu’un enfant ai à subir ce qu’elle a subit elle… Trouvant ca immonde de séparé une famille. - Je vous suis, je veux voir ça de mes yeux !- Oké pas de problème…L’homme en face d’elle reprit donc le chemin. Yuna, curieuse, le suivi d’un pas lent mais déterminé. Elle n’arrêtait pas de le fixer, se posant pas mal de question sur cette homme mystérieux… Comment un homme comme lui pouvait soit disant crée une charité… C’est alors que le jeune garçon, qui avait à peu près le même âge que Yuna, lui donna un petit coup de coup dans les côtes, attirant ainsi le regard de la petite voleuse sur lui… Le petit, euh, plutôt, le jeune garçon expliqua a Yuna que l’homme avait beaucoup aidé les enfants de ce petit groupe, déjà en leur offrant de la nourriture, ou leurs offrir des soins quand ils en avaient besoin… Cet aveux, eu pour effet, sur Yuna, de changer ses idées sur l’homme qui marchait, sans se soucier de ce qu’on pouvait dire derrière lui… À ce moment, la jeune fille, ne se posa plus aucune question, restant calme, et silencieuse… Le petit groupe arriva enfin à bon port. Ils se trouvaient devant une auberge, prêt d’un pont… Sans se poser de question, elle entra dans cette bâtisse. Elle remarqua une jeune femme derrière le bar, elle était si belle et si souriante… Mais ses clients, eux, nous dévisagèrent, d’une façon stricte, et dure. Ce qui intimida la petite voleuse, qui baisa directement son regard… Non, ça l’intimidait pas, ça lui foutait une de ces peur plutôt… Elle avait une boule dans la gorge qui la gêna… Mais elle ne resta pas longtemps dans cette salle, heureusement pour elle… Tous rentrèrent dans une autre salle, qui se trouvait au sous-sol. Bien que le passage était plutôt étrange (le passage se trouvait derrière une armoire, dans une chambrette) L’homme, une fois arriver en bas, leurs expliqua que ce passage, cette salle, et tous ce qui les entouraient, était secret, et qu’il ne fallait rien dire à personne. Un soir, alors qu’elle était en « mission » avec [le nom de mon amis qui va bientôt s’inscrire ici] ainsi que Balthazar, le formateur des deux personnes. Ils s’étaient tous les trois déguisés en serviteurs. Pourquoi ? Ce soir une grande réception pour un mariage avait été organisée. Cependant, Yuna ne se doutait pas de ce qu’elle allait voir… Le soir venu, tous les trois étaient en train de servir des douceurs dans la salle principale. Les hôtes, n’était pas encore arrivé, heureusement pour Yuna. Mais lorsqu’elle verra la future mariée et le marié. Elle aura une sacrée surprise… Puis, une douce musique se mit alors à retentir. Curieuse, Yuna regarda au même endroit que tout le monde regardait. Deux personnes sortaient de l’ombre. Une fois sortit de l’ombre, Yuna fut comme choquer par cette vision… Tellement qu’elle en fit tomber le plat, laissant entendre un bruit sourd… Elle fixait la mariée qui n’était autre que sa grande sœur Meg. Commençant à s’approcher, sans qu’elle ne s’en rend compte, elle s’approchait de sa sœur, qui lorsque celle-ci la remarqua, fit comme si elle ne la connaissait pas. Pourtant, Yuna n’avait pas changé, elle avait gardé la même bouille qu’avant. L’acte de sa sœur lui brisa le cœur. Elle sortit, péniblement de la salle, et alla dans le jardin. Elle ne savait pas où elle mettait les pieds, toujours sous le choc. Balthazar comprit tout de suite ce qui se passait, mais ne préférant pas s’en mêlé, il laissa la jeune voleuse reprendre seule ses esprits… Mais alla quand même, l’espionner, s’inquiétant qu’elle ne fasse quand même une bêtise monstre…Puis, la future mariée, qui accessoirement était la grande sœur de Yuna, alla la voir, voulant s’expliquer avec sa petite sœur. Yuna, marchant, fixant le vide. Elle qui venait tout juste de retrouver ca sœur, avait lamentablement été ignorer. Meg, posa sa main sur l’épaule de Yuna, cette dernière croyant, que s’était l’un de ses complices repoussa sa main.- Foutez-moi la paix tous les deux !Se retournant, elle remarqua que se n’était ni [….], ni Balthazar… Mais bel et bien sa sœur… - Oh, tiens, ma chere sœur … Ah, si je suis toujours t’a sœur… À moins que tu n’aies honte de cette dernière. - Exactement, pour moi, tu n’es plus exactement ma sœur, pour moi maintenant tu n’es qu’une simple servante… Je ne veux pas que tu fasses apparitions dans MA nouvelle vie. Je ne veux pas que mes amis, et mon mari découvre qu’un jour j’ai été une clocharde comme toi… Yuna, eu d’un coup un rire sournoise. La jeune voleuse, claqua sa pomme sur la joue de sa sœur, laissant une trace rouge sur la joue de cette dernière.- Remarque, le rouge va bien avec t’a robe de pétasse. Si je suis une clocharde, toi tu n’es qu’une trainer, qui a vendu ton corps a un enculés de première... Maintenant. Tu veux que personne ne sache ton passé, trop tard. Elle pointa, le marié qui était derrière sa sœur. Ayant un sourire moqueur sur le visage.- Mais au moins moi, j’ai beau avoir été une clocharde, j’ai des gens qui m’aime pour ce que je suis, pas pour mon cul ! Yuna profondément blesser partit en courant, mais pas sans les mains vidé, elle avait volé le collier somptueux de sa sœur. Balthazar et Marc La suivit tous les deux, avec également les poches bien rempli. Plusieurs invités commencèrent à se plaindre qu’on les avait volés. Meg également remarqua que son collier avait disparu. Depuis se jours, Yuna, n’entendit plus parler de sa sœur. Ne voulant plus avoir à faire avec elle Yuna avait maintenant 20 ans, elle continuait son métiers de voleuse, avec Balthazar ainsi que Marc tous les trois formait un groupe inséparable. DessertMais un jour alors que tous les trois étaient en mission… Meg, la sœur de Yuna, était présente au gala qui était donné. Malheureusement, cette dernière remarqua Yuna, et les « collègues » de la jeune femme, dénonçant le petit groupe a la milice qui était présente. Yuna, Marc et Balthazar partir tous les trois en courant, mais leurs chef, qui était accessoirement le prince des Vengeurs de l'ombre se fit capturer par la milice en voulant protéger Yuna… Cette dernière s’en voulu de cette fin… Ils avaient tous perdu leur prince… Malgré ça, en rentrant à la base, déçu, et choqués, ils mirent tous un plan, pour délivrer leurs chef… Or, ce dernier allait se faire exécuter, c’est pourquoi le petit groupe, mirent les bouchés double pour pouvoir le délivrer… Et ils se mirent d’accord sur un plan…Le jour de l’exécution arriva, heureusement c’était une exécution publique. Ils s’étaient tous placés dans la foule, ils étaient bien une dizaine de personne. Yuna et Marc Étaient tous les deux placés en tête. Prêt à frapper. Puis la, un bruit sourd se fit entendre juste derrière l’exécuteur. Deux personnes étaient sous l’estrade, à faire pas mal de bruit avec un truc lourd, afin de surprendre l’homme. Malheureusement, rien a faire, ils n’arrivèrent pas à le soulever, alors Yuna et Marc Décidèrent tous les deux de sauver tête baisser leur chef. Ils mirent leurs capuches, et foncèrent hors de la foule, se précipitant vers l’estrade. Ils ne savaient pas comment se d’emmerder, mais tous deux profitèrent de la surprise de tout a l'heure qui avait fait pour pousser l’homme de l’estrade. Malheureusement, la milice était là, elle aussi. C’est pourquoi, les deux personnes se dépêchèrent, enlevant la corde du cou de Balthazar, et se mirent à courir le plus vite possible. Heureusement ils connaissaient la ville mieux que la milice… Ils réussirent tous les trois à les semer. Le soir, une fois arrivé dans la base, tout le monde les attendait, joyeusement, ils avaient tous préparer une petite fête pour le retour de leurs chef. Mais ce dernier décida de couronner les deux personnes à sa place. Pour leurs courages, et pour l’avoir sauvé de la mort… Ce fut un couronnement bref, et sous la surprise de tout le monde… Mais surtout de Yuna et de Marc.Alors qu’elle venait d’être couronner, la jeune Yuna refusa cette couronne qu’elle n’avait pas mérité, et lâcha d’un coup qu’elle allait arrêter le vol. Qu’elle voulait voyager, découvrir un peu le monde…Elle passa plusieurs années à voyager, plus précisément elle passa en tous 30 ans à voyager, et découvrir chaque pays en profondeurs. Dans chaque pays, elle passait quelques mois. Et Travaillait pour vivre, normal quoi. Mais le jour de son anniversaire, elle découvrit une ile. Elle n’avait jamais entendu parler de cette ile. Elle la visita, et s’y plus. Dans cette ile il y avait un établissement pour jeune personne qui maitrisait pas leurs dons, elle y devint rapidement élève. Elle apprit donc à maitriser son don. Après ses années d’études, elle voyagea de nouveau, et fit la rencontre d’une jeune Furry enceinte, ce nommant Kaoru, Kaoru Takanori. Toute les deux s’étaient rapidement entendu toute les deux. La petite Furry, lui raconta qu’elle avait quitté un Etablissement ce nommait, Nako. C’était étrange, elle avait étudié la, elle aussi. Elle lui raconta aussi, qu’elle avait quitté l’établissement après que le père de son enfant, était partit. Elle raconta a la jeune fée également, qu’elle était tombée amoureuse du directeur, mais que ce dernier était déjà pris. Et qu’elle ne voulait pas être un poids pour lui. Yuna, fit en sorte de convaincre la jeune Furry d’y retourner, et qu’elle y retournerait également, pour la soutenir. Toute les deux retournèrent à l’établissement, Yuna devenant ainsi professeur de maitrise des pouvoirs. Mais peut après de leurs rentrer à Nako, Kaoru accoucha, donnant vie à un jeune garçon, ce nommant Ruki. Mais, peu après, la jeune Kaoru, décida de mettre fin a sa vie, car elle savait qu’elle ne pouvait jamais avoir celui qu’elle aimait, laissant son enfant dans les bras de son amie Yuna.
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