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| Sujet: [fiche] Gil-Estel 10.10.09 11:09 | |
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gilestel.forumactif.com Histoire:
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Histoire De Gil-Estel Dans le Nottinghamshire en l'an 1199, siégeait à la suite de Richard Cœur-de-Lion un roi chaotique. Le dénommé Henry Cœur-de-Lion, fils direct de Richard. Est un homme peu apprécié, il voulait entrer dans l'histoire par de hauts-fait d'armes tout comme son père, mais Henry ne partira jamais faire de croisade.
Bien sûr, qui dit Richard Cœur-de-Lion, dit Robin de Loxeley, alias Robin des bois, mais, au moment de cette histoire, ce héros populaire n'était déjà plus de ce monde. Cependant, il avait laissé deux enfants en ce bas-monde : sa fille et son fils, Mélodie et Jean. Tout deux grandiront dans le village d'Edwinstowe. Les vingt premières années de leurs vies, jamais ils n'entendirent parler de leurs pères, jusqu'à ce fameux jour...
Dans la forêt de Sherwood, Mélodie et Jean faisaient une course à cheval jusqu'au village. Ils avaient alors respectivement 20 et 23 ans. Une fois qu'ils furent enfin arrivés au village ils allèrent voir leur mère qui se faisait vielle et fragile. Les deux jeunes gens venaient lui apporter des fleurs et des fruits qu'ils avaient trouvés dans la forêt, à peine étaient-ils arrivé que leur mère avoua avoir quelque chose à leur dire, une fois que tout deux s'étaient rapprochés, la vieille femme, leur raconta toute l'histoire sur leur défunt père : Robin des Bois.
En écoutant ce récit, Mélodie fut fasciné, cependant Jean ne paraissait pas aussi enjoué. Il partit alors pour se promener aux abords du village, Mélodie le suivi en essayant de lui parler, mais ce dernier ne voulait rien entendre et c'est seulement quand ils s'approchèrent de la forêt qu'un énorme nuage de fumée s'éleva dans le ciel, cette fumée venait des soldats du Maréchal Vonbergh. Ils venaient de nouveau saccager le village. Mélodie voulut aller aider les villageois, mais son frère l'en interdit. Bientôt ils virent des villageois courir dans leur direction, afin de s'enfoncer dans la forêt, Mélodie et son frère les suivirent, il n'y avait pour eux aucune autre solution.
Deux jours de marche pour trouver un endroit au plus profond de la forêt, puis quand ils levèrent les yeux, ils furent tous époustouflé. Une véritable ville dans les arbres se tenait là, se fut Mélodie qui grimpa la première à une échelle de corde. Elle se balada sur les ponts de bois, toute joyeuse, mais ce ne fut que de court duré, elle repensa à sa mère qui devait sûrement avoir été assassinée. Elle se retint de pleurer, puis entra dans des cabanes, elle remarqua les gravures sur un petit bouclier de bois poser contre un mur elle s'en approcha et les déchiffra : Sherwood, le village de Robin des bois. Pour Mélodie c'était évident, c'était le village qu'avait construit son père, elle sortit de la hutte le bouclier en main et parla à tout le monde. Elle leur dit qu'il était temps de faire revivre ce village, qu'il était temps de protéger les innocents ! Jean n'était pas de cet avis, mais il n'en afficha rien, il aida même à la rénovation du village.
Cela dura, un peu plus de deux semaines, mais le travail était splendide, puis après ce travail formidable, Mélodie et son frère allèrent au village, les traces du massacre étaient toujours visibles. En plus des soldats patrouillaient, un avisa Mélodie et Jean, qui étaient tout deux emmitouflés dans des capes, Jean retira sa capuche arrêtant le geste du soldat.
- Monsieur je ne saurais que trop vous déconseiller, ma jeune sœur est atteinte par la peste...
Le soldat écœurer les laissa passer, les deux jeunes gens allèrent trouver de vieux amis à eux. Ils leur demandèrent de leur donner deux chevaux et quelques provisions, bien sûr ils acceptèrent. Une vielle dame dit tout bas à Mélodie qu'elle était bien la fille se son père.
Puis Mélodie et Jean retournèrent au village dans la forêt de Sherwood, quand ils y arrivèrent Mélodie était folle de rage, elle dit tout haut qu'il fallait faire quelque chose. Jean lui demanda ce qu'une dizaine de vieux et deux gamins à leur tête pouvaient bien faire contre les soldats du Maréchal Vonbergh. Mélodie ne se laissa pas démonter et pendant presque deux heures c'est deux là se disputèrent. Pendant presque deux mois ils ne se parlèrent plus.
Au château le Maréchal Vonbergh réfléchissait, on recherchait toujours Mélodie et Jean de Loxeley, tant que leur tête fut mise à prix. Mélodie en fut tout de suite mise au courant, elle le dit à son frère, mais cela ne fit que raviver la flamme de la dispute entre eux et c'est ainsi que son frère partit du village la laissant seul.
Qu'allait-elle faire à présent ? Seule et qui plus est, traqué par la garde ? Elle n'en savait rien, mais elle mit en place des dispositifs pour surveiller la forêt et grâce à cela elle sut quand et où, il y avait des déplacements. Et comme son père elle faisait le bandits de grands chemins, elle restait sur le bord de la route, à moitié déshabiller et attendait que la calèche passe. Le noble demandait de descendre et il s'approchait de Mélodie lui demandant ce qu'il s'était passé, Mélodie répondait qu'elle venait de se faire dépouiller. Le noble dans un élan de compatis la fait monter dans sa voiture et c'est là que Mélodie frappe et c'est elle qui dépouille le noble de ses riches apparats puis s'en repars. Bien souvent trop lâche les nobles n'ose aucunement protester, certains tombent sous le charmes de la demoiselle et repasse parfois.
Bref, tout allait bien, jusqu'au jour où elle revint au village après avoir dépouillé un noble, mais le sourire qu'elle affichait disparut, car le village était en cendre, ses compagnons ligotés. Et devant elle se trouvait Jean, qui affichait un sourire de victoire, un sourire malveillant.
- Jean ? Qu'est-ce que cela signifie ?
- Ne vois-tu donc point ? Petite sœur ? Je me suis rangé... ranger du bon côté, là où on m'apprécie à ma juste valeur.
- De quoi tu parle ? Et... ce sont les couleurs du Maréchal que tu porte ? Ne me dit pas que...
- Et si... Mélodie, pauvre petit Mélodie de Loxeley... ou devrais-je dire ? Mélodie des Bois ?
- Tais toi ! Traître ! Lâche ! Couard !
- C'est toi qui vas la fermer ! Tu es prise ma petite ! Tu ne peux rien y faire !
À ces mots le Maréchal Vonbergh sortit de sa cachette, ainsi que des soldats. Jean riait, riait d'un rire mauvais qu'elle ne lui connaissait pas. Il les avait trahis... Mélodie n'en revenait pas, son propre frère ! Avec une agilité époustouflante elle monta à un arbre, se cacha dans une hutte et y resta tapis. Les soldats dirigèrent tous leurs arbalète vers cette hutte, mais avant que Jean n'ai pus dire un seul mots Mélodie avait déjà réapparut sur le pont et avait lancé une flèche dans l'épaule de son frère, puis se fut une deuxième, mais pour le Maréchal qui l'évita.
Les soldats armèrent leurs arbalètes et tirèrent, mais Mélodie s'était déjà enfui. Des soldats la suivirent, mais beaucoup tombèrent dans des pièges alors qu'elle, elle les évitait. Ses compagnons qui étaient ligotés furent emprisonner, mais ils avaient crié à Mélodie de les laisser. Elle avait tant hésité à les laisser entre les mains de son frère et du Maréchal Vonbergh, elle courait toujours la peur en ventre et la haine dans le cœur. Puis tout d'un coup elle trébucha et quelqu'un la tira sous une couverture de feuille, camouflage astucieux. Elle senti qu'il y avait une main contre sa bouche, mais ne protesta pas, elle resta immobile, elle entendit un murmure près de son oreille.
- Mon maître veut vous parler, mais avant il faut faire partir tous ces soldats... restez calme...
Puis plus rien, juste le son de leurs deux respirations. On entendait les pas de soldats marcher et parler aussi, ils se demandaient comment elle a pu disparaître ainsi, bientôt ils parlèrent de fantômes ils commençaient à avoir peur. Puis devant le groupe de soldats qui poursuivaient Mélodie apparut un homme dans une armure bien étrange, le plus étrange c'est qu'il avait deux ailes dans le dos. De fausses ailes bien sûr, mais les soldats ne le savaient pas. Il commencèrent à prendre peur, l'inconnue ne fit que leur sourire puis une voix se fit entendre sans que l'inconnu ne bouge les lèvres.
- Vous ! Pauvres pêcheurs ! Comment avez-vous bien pu tuer une jeune fille innocente ?
- Seigneur dieu ! Pardonnez nous !
- Ferme là ! Je suis l'envoyé de dieu et il ne peut vous pardonner pour cela !
- Mais... monseigneur ! Nous n'avons fait qu'obéir !
- Hors de ma vue !
Les soldats se mirent à s'enfuirent en courant, l'homme aux ailles se mit à rire aux éclats et bien d'autres personnes sortirent de sous des couvertures poser sur le sol, quelqu'un perché sur un arbre sauta à terre. Mélodie put se relever et regarda l'homme aux fausses ailes, mais elle ne voyait que son dos, de plus quelqu'un retirait ces ailes faits avec des plumes de cygnes. Quand il se retourna elle banda son arc vers lui, cet homme ressemblait traits pour traits au Maréchal Vonbergh. Des hommes se placèrent devant lui, d'autres attrapèrent Mélodie et lui firent lâcher son arc. Puis celui qui avait été visé par l'arc de Mélodie prit la parole sans se défaire de son sourire.
- Hé bien damoiselle ? C'est ainsi qu'on remercie son sauveur ?
- Je ne remercie pas le Maréchal Vonbergh...
Et elle cracha par terre, l'homme à l'armure resta perplexe un instant puis se mit à rire. Il s'approcha de Mélodie qui lui lançait un regard noir.
- Mais je ne suis pas ce pauvre crétin de Julius Vonbergh ! Je suis son frère jumeau ! Vous savez ce que c'est, n'est-ce pas ? Votre frère est votre jumeau normalement, enfin bref ! Vous êtes amusante jeune damoiselle, laisser moi me présenter. Dimrost de Vipre.
- Son jumeau ?
- Oui, j'ai été renier par ma mère, qui de surcroît m'a abandonné à une pauvre femme qui gardait son bébé mort née... Pauvre femme, devenue folle, mais que je considérais comme ma mère... bref peut importe !
- Vous lui ressembler tellement... sauf que vous avez une oreille bizarre...
- Ha... oui. Rien de bien grave, j'ai perdu un bout de cette oreille quand j'ai combattu une louve une fois.
Il demanda à ce qu'on relâche Mélodie, celle-ci était abasourdie. Mais elle était surtout affaiblie, ses jambes se dérobèrent, mais avant qu'elle ne tombe quelqu'un la rattrapa. Elle fut allongée à l'arrière d'une charrette couverte et des femmes s'occupèrent d'elle. Dimrost voulus jeter un coup d'œil à l'intérieur, mais Elerinna, sa dulcinée lui envoya un coup dont il se rappela longtemps. Elle sorti de la charrette et le menaça du doigt, lui disant qu'être une femme c'est très dure, surtout quand on doit combattre ou fuir une horde de soldat. Puis après avoir appuyé son doigt violemment sur le front de Dimrost, elle retourna auprès de Mélodie.
Dimrost resta comme un benêt en plein milieux du chemin, regardant la charrette s'en aller, des gens riaient aux éclats, jamais on avait vu Elerinna aussi furibonde. Puis Dimrost reprit ses esprits et lança un regard noir a ceux qui riaient, ils fermèrent leurs caquets du coup. Puis à la fin du jour tout le petit groupe fit une pause, Mélodie se réveilla, que s'était-il passer ? Ce fut Elerina qui fut la première à lui répondre.
- Tu t'es simplement évanouis, les femmes et moi on s'en ai occupé.
- Ha ? Heu pourquoi ?
- C'est une chose à ne pas dire devant les hommes viennent je vais t'expliquer.
Suite de L'histoire :
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http://gilestel.forumactif.com/reglement-contexte-f1/histoire-t1.htm Fondateur:Mélodie de Loxeley Administrateur:
Samuel Seanog & Rúmilian Finwë Bouton [88*33]:
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